Faisons la connaissance de Melle Sarah Geringën; trentenaire, viens de se séparer à l’initiative de son conjoint, elle est dévasté quand on l’appel d’urgence pour une enquête. Ça tombe bien, il faut qu’elle pense a autre chose pour ne pas craquer. Un employé d’un hôpital psychiatrique d’Oslo appel pour annoncer le suicide d’un de ses patients.
Celui-ci à le nombre 488 de gravé sur le front. Seulement deux faits sont importants. D’une part le corps a été déplacé, deuxièmement l’autopsie conclue que le patient est « mort de peur ». Conclusion, vous l’aurez compris c’est un meurtre. Et en fouinant, Sarah remarque des choses louches; le personnel, le directeur, des dessins répétitifs, cette enquête va aller beaucoup plus loin qu’elle ne le pense.
Direction Paris, où elle va mener son enquête avec Christopher, professeur et journaliste.
De là l’aventure et l’action sont au rendez-vous. Secret de famille, complot, la vie après la mort…. Installez-vous, le compte à rebours va débuter.
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Ce que j’en pense:
Alors tout d’abord j’ai eu vraiment du mal à me plonger dedans. Ce n’était peu être pas la période ou le bon moment. J’avais du mal à accrocher avec le personnage de Sarah. Je me suis forcée à le reprendre après deux mois, le l’ai trouvé bien, mais pas de réel coup de cœur.
Alors si vous voulez de l’action vous allez être servi, passer le début un peu long, pour la suite pas une minute de répits, on a vraiment l’impression de se retrouver dans ces séries télé où les héros vivent des choses improbables à deux mille à l’heure pas le temps de manger ni de respirer. C’est peut-être ça qui me dérange en fin de compte.
Voilà un roman qui me laisse perplexe. Je ne sais pas si je l’ai vraiment aimé ou pas… Alors je pense me relaisser du temps et le relire plus tard. Car contrairement à moi, Virginie l’a dévoré. Je suis peut-être hermétique à la plume de l’auteur. Ceci dis je veux quand même lire la suite « complot », afin de ne pas rester sur cette sensation indécise.
A bientôt mes ptits loups pour de nouvelles aventures.
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Note sur l’auteur :
Nicolas Beuglet est romancier et scénariste. Il a été présentateur, rédacteur en chef et directeur artistique en télévision (M6).
En 2011, il a publié un premier roman, « Le premier crâne », sous le nom de Nicolas Sker. « Le cri » , son deuxième roman, est lauréat du Prix du Polar des Petits Mots des Libraires, du Prix du Roman Populaire et du Prix Nouvelles Voix du Polar 2018, catégorie roman français (Pocket).
Après le best-seller « Le cri », le « Complot » (2018) est le nouveau thriller de Nicolas Beuglet.
Fiche Technique
Titre : Le cri
Auteur : Nicolas Beuglet
Édition: Pocket
Nombres de pages: 560