À New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres… Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.
Entrez au N° 12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer… dans la plus délicieuse des comédies new yorkaises !
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J’ai apprécié lire cette comédie romantique, qui, si mes calculs sont bons, est le 9ème roman de Marc Lévy que je lis.
L’histoire est fluide et les personnages attachants. Sans trop en dire, j’ai aimé qu’ils aient des profils atypiques, des caractéristiques qu’on retrouve rarement chez des personnages principaux de romans. J’ai trouvé cela rafraîchissant.
L’intrigue reste néanmoins assez simple comparée à d’autres romans de l’auteur français le plus lu au monde, mais correspondait à ce dont j’avais besoin pour renouer avec le plaisir de la lecture.
Le roman m’a aussi fait penser aux films chorals (Love Actually, et autres), mettant en scène de nombreux personnages vivant à la « verticale » dans ce N°12 de la 5e Avenue, dont les vies se déroulent à chaque étage et se croisent dans l’ascenseur, véritable colonne vertébrale de cet immeuble et de l’histoire et donnant lieu à des scénettes qui rappelleront des souvenirs à ceux qui vivent ou ont vécu un jour en copropriété.
Enfin, j’ai aimé l’immersion dans New York où le quartier de Manhattan est présenté à taille humaine, on croirait presque que l’histoire se déroule dans un « village », avec son parc et ses bonnes adresses pour déjeuner. A travers ces descriptions de la ville, on ressent l’attachement de l’auteur pour la Grosse Pomme.
Sans être un incontournable de l’auteur, ce roman est un bon divertissement, idéal à lire l’été ou pendant les vacances.
Fiche technique :
Une fille comme elle
par Marc Lévy
Editions Robert Laffont/Versilio
Nombre de pages sur l’édition imprimée : 384 pages
Drôles de Lectrices 