Le topo :
Polly vie la meilleure partie de sa vie, elle a pris sa revanche en arrivant à Mount Polbearne il y à deux ans.
Elle a acheté un phare dans lequel elle vie avec son petit ami sexy, a des amis chaleureux, un macareux en guise d’animal de compagnie, fait de sa passion son métier, elle est sur un petit nuage.
Tout aller pour le mieux, jusqu’au décès de la propriétaire de la boulangerie. C’est donc la sœur de celle-ci qui en hérite et donne les pleins pouvoirs à son fils pour gérer l’affaire. Le soucis? Il n’a pas du tout la même vision de tenir une boulangerie… rentabilité voilà ce dont il veux entendre parler.
La veuve de Tarnie ( le marin décédé l’année précédente et ex amant de Polly), arrive aussi sur l’île avec son chat et de l’autre coté le frère de Hunck le fait son apparition aussi. A partir de là, son petit bonheur va commencer à partir en miette…
La belle héroine arrivera t’elle à prendre les choses en main, a relever la tête, prendre les bonnes décisions, attraper le taureau par les cornes pour ne pas voir sa vie dégringoler? Sera t’elle bien entouré ?
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Note sur l’auteur: Jenny Colgan est une romancière de nombreuses comédies romantiques et de délicieuses recettes de cuisine. Son père étant un étant un excellent cuisinier il a su lui faire partager sa passion et elle nous la retranscrit dans ses récits, en nous donnant quelques une de ses recettes à chaque fin de livres.
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Ce que j’en pense :
Ce deuxième volet peut se lire individuellement car Mrs Colgan vous donne les informations concernant le premier au fur et à mesure de la lecture, vous ne serez donc pas perdu.
Comme le premier, il faut bien avouer que la lecture se fait d’un trait, il est dépaysant, on ressent diverses émotions que ce soit sur l’amour de nos deux tourtereaux, ainsi que du lien unissant Polly à son macareux,aux habitant du village ou même à sa passion pour son métier.
Mais l’humour décalé fini par me lasser, on y découvre un héroïne très courageuse, avec une envie de déplacer des montagnes, mais aussi un manque de caractère affligeant que ce soit en tant que patronne ou en tant que femme. Elle se laisse faire sans rétorquer, limite elle tend l’autre joue. J’ai eu envi de la secouer et de lui donner un coup de pied aux fesses pour qu’elle réagisse. Un petit coté ingrat, une fierté personnelle qu’elle devrait mettre de coté pour mieux évaluer les choses. Vous l’aurez compris cette suite bien qu’agréable à lire me laisse un peu sur un avis mitigé. Mais je ne perds pas espoir,il y a la suite « Un Noël à la petite boulangerie ». Arrivera t’elle a me surprendre?
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Fiche technique :
Edition pocket – 483 pages